Le Québec manque de logements, c’est connu. Et nos écoles ont besoin d’amour, comme nos hôpitaux et nos routes.
Malheureusement, même si les gouvernements investissent davantage, même si le secteur privé multiplie les projets résidentiels, le Québec peinera à combler les retards pour une raison bien simple : il manque de bras.